“Sybille Friedel appelle sa peinture paysages calligraphiés. La formule est exacte car cette méthode calligraphique lui offre une liberté d’expression absolue. Pour un peintre, se laisser emporter par la nature est un état passionnant auquel Sybille accède désormais.”

Luo Shi Ping, directeur de la faculté d’Histoire des Beaux-Arts de Pékin, Art Observation





“De son voyage au Liban en 2006, où les traces de la guerre sont encore brûlantes, Sybille Friedel ramène des visions et des sensations bientôt transformées en paysages de déshérence, en figures estropiées, en lambeaux de chair.”

NEA, Formes et difformes, 2011 (extrait)







“La sauvagerie, poétiquement mise en rythme de manière à ouvrir l’espace à notre sensibilité et l’entraîner au-delà d’elle-même dans un bouillonnement de vie, dans un frémissement d’esprit, un vent – l’un de ces vents dont on ne sait « ni d’où il vient, ni où il va »”.

Edith de la Héronnière, Sybille Friedel (extrait)